Tout d’abord ce sont les grands propriétaires de l’agriculture industrielle qui empochent 80% des subventions. Ensuite on produit, on exploite et on pollue. Oeuvre accomplie, on revend le désert ainsi créé à l’état et on profite en prime du marché des droits à polluer géré par l’Etat. Le contribuable est alors remis à contribution pour dépolluer ce qu’il a contribué à dégrader.
Un bon exemple de l’application du principe pollueur-payeur avec un arrière goût de scandale, illustré par le cas des anciens vergers (...)