Aujourd’hui il nous apparaît possible de dire qu’une même logique sous-tend la propriété individuelle et la croissance industrielle, celle de l’accaparement des terres – cultivables le plus souvent –, dans le mépris toujours plus grand des éléments avec lesquels nous partageons la vie (végétal, animal, minéral, aérien, aquatique…), et ce jusqu’à leur domestication totale. Au mépris plus profond encore, à l’égard des humains, de l’attachement qu’ils éprouvent pour leur territoire, aux pratiques qui en (...)