En réponse à :
11 juillet 2011, par LDH Arles
Usant parfois d’ambigüités, elle innove, ne ferme rien et s’ouvre à d’autres évolutions.
Le Monde, 6 Juillet 2011.
Le débat concernant le projet constitutionnel marocain, aujourd’hui voté, s’inscrit dans un questionnement qui dépasse la controverse récurrente entre réformisme et rupture, et même les limites géographiques du Maroc. Cette nouvelle Constitution pose, en effet, la question des voies originales que chaque peuple choisit pour mettre en œuvre l’universalité des droits et libertés.
Laissons de (...)