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1er mars 2006, par Forum Civique Européen
Des oiseaux migrateurs devenus boucs émissaires, un public affolé, des ventes de viande de volailles qui s’effondrent : la peur de la peste aviaire a aussi ses bons côtés, pour les laboratoires pharmaceutiques et leurs profits.
Sous prétexte de produire plus et plus vite, les volailles domestiques ont subi une importante érosion génétique, dite « sélection génétique », qui a engendré des variétés très « productives » aux dépends des capacités d’adaptation et de la résistance aux maladies naturelles (1). Ces (...)