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31 octobre 2005, par ab (JournArles)
J’ai longtemps cru que le « cerveau frein » était une petite boîte qui aidait les automobilistes à réfléchir leur freinage et adaptait le ralentissement de leur véhicule aux circonstances et à la volonté du conducteur.
Un jour, en lisant le nom de la chose sur un emballage de pièces détachées, j’ai compris qu’il s’agissait, en fait, d’un « servo frein », à savoir, non pas d’un outil à réfléchir, mais d’un serviteur de freinage, d’une mécanique uniquement destinée à augmenter la pression du pied de (...)